Tournoi des 6 nations : FRANCE – GALLES (21-16)

Posté par dominique le 28 février 2009

2041.jpg       Vainqueur du pays de Galles (21-16), la France s’est relancée dans la course à la victoire dans le Tournoi au prix d’un match réussi tactiquement et renversé à l’heure de jeu. Ce fut beau mais ce fut dur ! Mis à part la collision avec les retours de vacances et les bouchons du périphérique, ce 88e France-Galles et ses airs de Friday night rugby version soirée américaine ou Ligue des Champions a répondu aux attentes de spectacle du public et des observateurs. Surtout, il a transformé leurs craintes en espoirs. Plus que l’opération commando commanditée, l’équipe de France a remporté une bataille tactique froide et réfléchie, misant à raison sur la possession de balle à l’infini et le jeu au pied dans le dos des Gallois, ne laissant que miettes à ces derniers. Et une fois le destin de cette rencontre renversé dans les têtes avant l’heure de jeu, le public emballé, les Bleus ont alors montré le visage enthousiaste et fougueux de leurs vertes années et goûté aux joies bienveillantes de la domination. L’affaire n’eut pourtant rien de l’allégresse. Durant la première demi-heure et en toute fin de partie, il fallut même aux Tricolores beaucoup de tripes et de douleur pour s’arracher de la condamnation écrite.

Tournoi des 6 nations : FRANCE - GALLES (21-16) dans Stade Francais 2042

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FIN DE SÉRIE POUR PARIS

Posté par dominique le 26 octobre 2008

Annoncé sur fond de polémique, le clasico du Top 14 a tenu toutes ses promesses. Alors que l’on craignait que Guy Novès ne galvaude cette affiche, ce ne sont pas moins de treize internationaux qu’il avait inscrit sur la feuille de match. En plus des festivités, le public a pu assister à un vrai beau match de rugby qui s’est soldé par la victoire du Stade Toulousain (13-26). Un match où tout s’est joué durant la première – superbe – période. Déchaînés, à l’image de David Skrela pour son retour dans son jardin du Stade de France, les Toulousains ont fait feu de toute part pour empêcher le Stade Français de s’installer dans la partie. Pire, les Parisiens n’ont inscrit aucun point durant la seconde période. C’est une fin de série pour Paris, invaincu cette saison après neuf matches, et qui n’avait encore jamais été battu en saison régulière au Stade de France. Le club de la capitale devra se reprendre dès la semaine prochaine, à Clermont

FIN DE SÉRIE POUR PARIS dans Stade Francais arais1     janzion1 dans Stade Francais

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Posté par dominique le 13 septembre 2008

 

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interview sur 20 minutes .fr

Posté par dominique le 13 septembre 2008

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l’article c’est par ici

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Top 14 – Paris se sort du piège

Posté par dominique le 13 septembre 2008

Dans un climat électrique, le Stade Français a ramené la victoire de Toulon (19-13), en ouverture de la 4e journée. Les Parisiens restent leaders et invaincus. La rencontre a été marquée par une bagarre générale qui a entraîné l’expulsion définitive de deux joueurs avant la pause.

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Une semaine après avoir frappé fort en s’imposant à Perpignan, le Stade Français est parvenu à décrocher sa quatrième victoire de la saison à Toulon. Dans un stade Mayol surchauffé, le club de la capitale s’est de nouveau appuyé sur un jeu simple pour s’en sortir. Mais que ce fut dur ! Face à des Varois enfin performants et enthousiastes, les Parisiens ont souvent été privés de ballon. A force de subir, l’équipe entrainée par Ewen McEnzie a souvent tremblé mais n’a pas craqué. Les échanges ont parfois été violents à l’image de cette terrible bagarre générale en fin de première période. Comme Toulouse dimanche dernier face à Biarritz, le Stade Français a surtout fait preuve de réalisme pour l’emporter. A n’en pas douter, la force d’une grande équipe. Le RCT n’a cependant pas démérité. En colère depuis la déroute montoise, le président Mourad Boudjellal peut, malgré cette deuxième défaite de la saison, être fier de ses joueurs qui décrochent le bonus défensif.

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le nouveau Staff

Posté par dominique le 4 août 2008

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Christophe Dominici, entraîneur des arrières
Ewen McKenzie, manager sportif
Fabrice Landreau, entraîneur des avants

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nouveau role

Posté par dominique le 23 juillet 2008

Tout frais retraité des terrains, Christophe Dominici ne s’éloignera pas du rugby. Comme attendu, l’ancien ailier international du Stade Français intègre en tant qu’entraîneur-adjoint en charge des lignes arrières le staff du club parisien au côté du successeur de Fabien Galthié, l’Australien Ewen McKenzie, et de Fabrice Landreau confirmé à la tête des lignes avants stadistes.
McKenzie bien encadré
L’Australien sera donc encadré par les « historiques » ; car Dominici comme Landreau, de trois ans plus vieux, sont de la même génération et l’un comme l’autre des cautions importantes et les garants de l’héritage parisien. Et Galthié lui-même, à l’heure d’annoncer son départ, avait évoqué cette perspective de voir l’un des cadres prendre ses responsabilités au sein du staff. Quand Sylvain Marconnet, qui a prolongé son bail de deux ans et sera cette saison l’un des derniers grands anciens encore en activité, il avouait être « à 200 % pour Domi ». Un McKenzie qui, en bonne intelligence, aura sans doute compris qu’il lui faudrait savoir composer avec l’état d’esprit si particulier qui anime ce club.

Dominici, lui, dès la déroute du Stadium en juin dernier, n’avait pas caché ses ambitions pour son club de toujours: « Le Stade Français est à un tournant. Toutes les grandes écuries aujourd’hui sont en train de s’armer sur le terrain et en dehors. (…) A un moment donné, si on a su conserver nos meilleurs joueurs, il faut intégrer de la concurrence, il faut un groupe élargi, étoffé. Il faut 35 joueurs de très haut niveau. Il faut aller chercher des joueurs qui nous tirent vers le haut. Kelleher a tiré Toulouse vers le haut comme Nalaga l’a fait à Clermont. On va tout faire pour trouver les perles rares. » A une semaine de la reprise de l’entraînement, fixée au 28 juillet, et alors que le marché des transferts s’est refermé la semaine dernière, le recrutement parisien n’a pas franchement exaucé les voeux du nouvel entraîneur stadiste. Avec six recrues devant pour seulement trois nouvelles arrivées au sein des lignes arrières, dont tout de même la star australienne du jeu à XIII, Mark Gasnier, Dominici attendait peut-être autre chose…

source http://sports.linternaute.com/

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Christophe dominici

Posté par dominique le 1 juin 2008

C’était le jour des adieux à Jean-Bouin lors du match opposant les Parisens à Castres. Avec une victoire (44-15), le Stade Français a assuré sa qualification pour les demi-finales du Top 14. En plus de la joie, il y avait beaucoup d’émotion sur le terrain puisqu’il s’agissait du dernier match devant leur public de Fabien Galthié et Christophe Dominici.

 

Fabien Galthié a confié tout l’impact émotionel que représentait ce match particulier. « C’était émouvant. Il y avait un peu d’émotion dans le vestiaire avant le match. Ce tour d’honneur était vraiment sympa, c’est rare de voir un entraîneur porté par ses joueurs. On a fait une bonne semaine. En première mi-temps, on était un peu stressés, on a beaucoup d’actions qui avortent par notre faute. J’ai pensé que ce n’était pas cher payé (16-12 à la pause). On est resté sur notre ambition collective et, petit à petit, c’est passé. Les entrées des joueurs remplaçants ont été positives. Après la défaite à Auch, dans des conditions un peu chaotiques, je n’étais pas inquiet. Cela nous a boosté. On a bien su communiquer sous cette pression.»

 

Avec le départ de Fabien Galthié du poste d’entraîneur, c’est le temps des questions au Stade Français puisque le nom de son successeur n’est pas encore connu. Christophe Dominici, ailier international qui a également disputé son dernier match à Jean-Bouin a déclaré qu’il était envisageable de le retrouver sur le banc la saison prochaine. « Des questions sont posées, il va falloir y répondre. Ca peut être envisageable, cela peut être une continuité. On va en discuter tranquillement avec l’encadrement et la présidence ».

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Dominici évoque son avenir

Posté par dominique le 1 juin 2008

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L’ailier du Stade Français, Christophe Dominici, qui a disputé samedi son dernier match au Stade Jean-Bouin contre Castres (44-15) avant de prendre sa retraite de joueur, a déclaré qu’il était « envisageable » qu’il prenne la succession de Fabien Galthié sur le banc parisien.« Des questions sont posées, il va falloir y répondre, a déclaré Dominici à l’issue de la rencontre. Ca peut être envisageable, cela peut être une continuité. On va en discuter tranquillement avec l’encadrement et la présidence. Bien que la saison ne soit pas terminée, pour moi, cette sortie à Jean-Bouin est un point positif. J’avais un peu manqué ma sortie contre l’Argentine. »

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Dominici a quitté Jean-Bouin en tant que joueur

Posté par dominique le 1 juin 2008

Pour les derniers matches à Jean-Bouin de Galthié, Dominici et Skrela, le Stade Français n’a pas manqué ces adieux au public parisien en signant une large victoire (44-15) bonifiée qui permet aux champions de France de rejoindre Clermont et Toulouse en demi-finales.

 L’émotion était partout samedi à Jean-Bouin où Christophe Dominici, futur retraité, David Skrela, en partance pour Toulouse, et Fabien Galthié, sur le départ en fin de saison, disputaient tous les trois leur dernier match dans l’antre des Parisiens. L’émotion et l’anxiété, celle de voir le Stade Français caler dans cette dernière ligne droite de la saison régulière à l’heure de valider un billet pour les demi-finales qui lui tend les bras depuis des semaines. Après deux piteux revers à Brive et à Auch, Max Guazzini, qui au retour du Gers, s’était fendu d’un SMS assassin: Honteux, envoyé à ses joueurs, guettait la réaction d’orgueil de sa formation après une semaine de stage dans les Pyrénées.

Qu’elle soit venue après avoir une fois encore frisé la correctionnelle face à une équipe castraise, bien décidée à jouer à fond sa dernière chance d’accéder aux demi-finales, ne fait que rajouter au bonheur des Parisiens capables sur la maîtrise d’un Lionel Beauxis, parfait relais de Juan Martin Hernandez forfait, et sur la fraîcheur de leur banc, de décrocher les cinq points d’une victoire bonifiée libératrice (44-15). Le Stade tiendra son rang en demi-finales aux côtés des Clermontois et des Toulousains alors que Castres, qui pourra regretter un réalisme défaillant, devra se contenter de la course à l’Europe.

Castres rate le coche d’entrée

Pourtant pas d’impasse au coup d’envoi à Castres où l’entame de match est tonitruante. Le CO affiche ses ambitions d’emblée mais manque de réalisme sur ces deux occasions franches d’essai, la première initiée par la charnière Lagardère-Tillous-Bordes mais mal conclue par Laloa Milford auteur d’un en-avant à quelques mètres de la ligne (4e) et la seconde sur une charge du centre Steve Kefu stoppé à un mètre de l’en-but (7e). La réaction attendue des Parisiens se fait attendre. Elle intervient toutefois sur une inspiration de Julien Saubade, suite à une bonne mêlée parisienne et un départ au ras de Simon Taylor qui permettent à l’ailier parisien d’attaquer et de se jouer de la défense castraise sur une superbe course croisée (7-0, 12e). Une première pénalité de Lionel Beauxis, titularisé à l’ouverture, aggrave le score. Le coup est rude pour des visiteurs bien mal récompensés de leurs intentions mais que la botte de Romain Teulet, impeccable pour sanctionner les nombreuses fautes parisiennes (15e, 20e, 25e), maintient au contact (10-9).
L’arbitre M. Darrière doit se multiplier dans un match de plus en plus haché par les fautes, où Beauxis et Teulet, redoutables d’efficacité, sont de plus en plus sollicités. Et tandis que Colin Gaston, côté castrais (30e), et Rodrigo Roncero, côté parisien (33e) sont exclus temporairement sur des fautes d’antijeu, les deux buteurs font feu de tout bois et à la pause, Paris n’a que quatre petits points d’avance (16-12) en dépit d’une belle occasion qu’Ignacio Corleto, bien lancé au pied par Jérôme Fillol dans la profondeur mais repris in extremis par Lagardère, ne peut concrétiser (37e).

Le Stade Français est prévenu, Castres cherche le gros coup qu’il ne veut pas avouer… Et la reprise d’une rare intensité des Tarnais ne trompe pas avec cette pression incessante qui, tout comme en première période, repousse Paris sur sa ligne. Mais aux mêmes causes les mêmes effets puisque c’est le Stade qui score sur une nouvelle pénalité de Beauxis (19-12, 48e).

Beauxis, bon pied, bon oeil

Paris ne parvient pas pour autant à décrocher son adversaire qui, sur un ballon contré de Beauxis par Lagardère, manque de réussite, le rebond du coup de pied à suivre de Tillous-Bordes étant défavorable à Milford en position d’essai (50e). Les joueurs de Galthié et Landreau jouent avec le feu, offrent trois nouveaux points à Monsieur 100%, alias Teulet (19-15, 52e) et manquent à leur tour de réussite sur un contre au pied de Fillol que Christophe Dominici, gêné par le retour du jeune ailier fidjien du CO, Neumi Nanuku, ne peut aplatir, la vidéo en apportant la preuve (55e).

Les intentions d’Alain Gaillard et de son staff sont claires avec l’entrée en jeu du capitaine et deuxième ligne, Lionel Nallet, au relais de Capo-Ortega (57e). Mais le capitaine des Bleus ne peut à lui seul cacher que son équipe cherche son second souffle, ce dont Paris profite pour créer l’écart (25-15) grâce au pied dominateur de Beauxis, énorme dans sa manière de soulager sa formation et auteur de deux nouvelles pénalités (60e, 65e). L’ascendant est pris et les champions de France en sont conscients, suffisamment pour mettre à profit une mêlée dans les 22 mètres adverses et porter, suite à une feinte de passe de Saubade, Boela Du Plooy en terre promise (30-15, 68e). Aussi inespéré que cela puise paraître, Paris n’est qu’à un essai d’un bonus essentiel puisqu’il lui ouvrirait les portes des demi-finales. Le carton jaune de Gerhard Vosloo pour une charge sur David Skrela, à peine entré en jeu (70e), doit lui faciliter la tâche. La fraîcheur d’un Mirco Bergamasco est fatale au CO qui concède à l’ailier italien un essai libérateur pour les Parisiens (37-15, 74e), dont la qualification en demi-finales sera confortée suite au doublé de Du Plooy (44-15, 78e). Jean-Bouin pouvait saluer ses héros le coeur léger…

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